Le tatouage, une histoire de famille

Le tatouage est devenu une affaire de famille grâce à Sandrine, la femme de David.

C’est elle qui l’a aidé à sauter le pas, il y a trois ans, pour faire son premier tatouage : un lettrage pour leur fils, Clément.
Adepte du monde asiatique, David n’allait pas s’arrêter là « le tatouage est devenu une drogue » nous confie-t-il.

Une rencontre à Chaudes-Aigues

En 2017, il se rend au Cantal Ink et rencontre Kai qui lui tatoue un crâne style blackwork tibétain.
On peut dire que le courant est bien passé entre notre british et son client car un an plus tard, il le contacte pour un nouveau projet : une geisha.

C’est tout naturellement qu’il a emmené son fils, Clément, pour son tout premier tatouage au salon Graphicaderme Avignon.
« Les conditions étaient claires : il devait attendre sa majorité et se faire tatouer par Kai !»

Clément a donc dû prendre son mal en patience pour son crâne mexicain. Peu aprés ses 18 ans, père et fils ont fait les cinq heures qui les séparent du salon.