Le tatouage réaliste de Clément par Jonathan Czk

Jonathan, un tatoueur plein d’avenir

Si vous suivez les actualités Graphicaderme, vous connaissez sans doute déjà Jonathan Czk, notre jeune tatoueur venu d’Alsace il y a un peu plus d’un an pour vivre de sa passion du dessin et du tatouage. Et bien notre tatoueur en herbe a bien progressé ! On connaissait son talent incroyable pour le dessin réaliste, voilà qu’il nous prouve qu’il mérite une vraie place dans le tattoo avec ce tatouage réaliste sur l’épaule de Clément.

Un client fidèle de Jonathan

Clément, jeune homme de 18 ans, était déjà venu faire son premier tatouage par Jonathan : une phrase en anglais sur l’intérieur du biceps, que l’on peut traduire par « pourquoi prendre la vie au sérieux puisque l’on n’en sortira pas vivant ». Très satisfait du résultat, Clément s’est donc adressé à son tatoueur d’Avignon pour son second tatouage, qu’il voulait en rapport avec le premier.

La symbolique du tatouage

L’idée que Clément souhaitait illustrer avec son tatouage correspond à sa philosophie de vie. Pour lui, la vie est courte et parfois absurde, il est donc essentiel d’en profiter, vivre les choses légèrement et ne pas « se prendre la tête ». Pour représenter la précarité de la vie, Clément avait dans l’idée d’utiliser la métaphore d’un marionnettiste qui manipule un crâne, comme si la vie ne tenait qu’à un fil. Conscient de son jeune âge, Clément désirait néanmoins éviter l’aspect morbide du crâne : il a alors eu l’idée de le traiter en origami.

Le déroulement du tatouage

Partant sur cette idée, Clément a fourni quelques photos à Jonathan qui a préparé le dessin : une main de marionnettiste manipulant un crâne en origami par des fils. Clément souhaitait cette fois-ci profiter davantage de son tatouage dans la vie de tous les jours en choisissant un emplacement plus exposé : le haut de son bras droit. Deux séances de 3h30 chacune ont été nécessaires pour réaliser ce tatouage réaliste en noir et gris. Clément a été surpris du peu de douleur qu’il a ressenti et a établi une bonne relation avec son tatoueur Jonathan. Il prévoit déjà de revenir pour finir son bras au salon Graphicaderme d’Avignon où il a toujours été bien accueilli par une équipe qu’il trouve « très sympa ».