Chaudes-Aigues fête Noël 2016 : le récit

Le 23/12/2016 | Mis à jour le 30/12/2016 Salons : Avignon, Chaudes-Aigues, Orange

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Les samedi 17 et dimanche 18 décembre 2016, vous avez été nombreux à participer à l’événement Chaudes-Aigues fête Noël 2016 initié par Cécile depuis plus d’un an et, à travers lui, à l’opération Challenge Tattoo. Et si la neige n’a pas été au rendez-vous, le succès, lui, l’a été ! Récit.

Une fréquentation de + 50 % dans le village de Chaudes-Aigues

500 : c’est le nombre approximatif de curieuses et de curieux dénombrés à Chaudes-Aigues pour l’antépénultième week-end de l’année. Une petite prouesse pour un village qui, à l’année longue, compte moins de 1 000 habitants – sauf lorsqu’est donné le coup d’envoi du Festival International du Tatouage, qui a lui aussi élu domicile dans le petit village cantalien.

Derrière cette 2ème édition de Chaudes-Aigues fête Noël, une volonté : celle de mettre sur pied un événement pour toute la famille, pour les plus petits comme pour les plus grands – une sorte d’écho hivernal au Cantal Ink.

Un travail d’équipe pour un Noël à la sauce cantalienne

Pour composer ce 2ème chapitre, la Chaudesaigues Tattoo Association et le studio de tatouage Graphicaderme du village ont reçu l’aide précieuse d’amis venus de Chaudes-Aigues, du Cantal, d’Auvergne et d’ailleurs. Parmi eux, Simone Gascuel, chef du très réputé restaurant Le Moulin des Templiers, qui a mis ses talents de gastronome au service de notre événement ; la boulangerie Veyre Marc, pas avare en délicieuses fougasses ; M. et Mme Terrisson, du Carrefour Market de Saint-Chély-d'Apcher, et leurs tarifs exceptionnels sur les châtaignes ; DJ Nico di Bernardo et ses platines pour l’ambiance musicale ; ou encore – sans pouvoir les citer tous – l’association des parents d’élèves et les Petits Caldaguès pour leurs pâtisseries et la mythique Biche, tenancière du pub Lou Gallic.

Graphicaderme tient à décerner un remerciement tout particulier à Paul Plagne et Thibaut Gastal, photographes dévoués qui sont parvenus à immortaliser les visages de l’événement. Au total, ce sont plus de 200 portraits qui ont été réalisés de main de maître et envoyés gratuitement aux personnes photographié(e)s !

Le studio de tatouage de Chaudes-Aigues en ébullition avec le Challenge Tattoo

Si le village tout entier a vibré, 2 jours durant, au son des sabots des chevaux des calèches et aux lumières du feu d’artifice final (tous deux offerts par l’Association des Commerçants de Chaudes-Aigues) ainsi qu’aux parfums des produits locaux vendus au détour des ruelles, le studio de tatouage de Chaudes-Aigues a, lui, été bercé par le bourdonnement incessant des dermographes et les piques des aiguilles. Les 17 et 18 décembre, vous avez répondu présent pour participer au Challenge Tattoo dans et en dehors de notre shop.

Le concept ? La moitié des bénéfices récoltés pour chaque tatouage et piercing réalisés dans le cadre de l’opération a été remis à l’association Les Tatoueurs ont du Cœur, fondée et présidée par le tatoueur Kalil Moktar, venu spécialement avec son épouse Nath.

Le Challenge Tattoo, de Chaudes-Aigues à Marseille en passant par Nancy

À leurs côtés se sont activés Stéphane Chaudesaigues et Sylvaine au tatouage permanent, la jeune Enora au tattoo éphémère, sans oublier Ernault au piercing. Le studio a également reçu la visite d’Alice Devillers pour Cap-Hygiène, organisme de formation continue. Mais l’opération Challenge Tattoo a aussi fait des émules hors des frontières du Cantal, avec la participation des studios de tatouage Graphicaderme d’Avignon et d’Orange, de Greg Belkadi et Bop John (Bourges), de Fab Onirik (Solignat), de Crock’Ink (Nancy), de Jem Animalize (Marseille) et de Yannick Lemitre (Montélimar).

La conclusion du week-end ? Tout le village (et bien plus encore) a mis la main à la pâte, combinant vitrines animées, maisons décorées, tombola, photos avec le Père Noël ou encore dégustation du vin Cantal Ink. Neige ou pas neige, les enfants, leurs parents et leurs grands-parents rêvent déjà d’être à l’hiver prochain pour un 3ème volet… mais d’ici là – heureusement –, il y a le Cantal Ink.