Replongez dans vos années de collège : souvenez-vous de cette fille, dans votre classe, qui avait pris l’habitude de dessiner au feutre sur la peau de vous et de vos camarades – il y en a toujours une. Dans le cas qui nous intéresse aujourd’hui, cette fille, c’est Pauline, notre représentante du tatouage à Nîmes, aussi connue sous le pseudo de SadWolf. Chez elle, du feutre au dermographe, il n’y eut qu’un pas.
Les débuts de notre tatoueuse à Nîmes
Un pas qu’il fallut franchir avec courage pour notre tatoueuse du Gard. Ses premiers faits d’armes, elle les fait dans l’ébénisterie d’art – un milieu dont elle s’éloigne vite pour, à 19 ans, migrer dans les Pyrénées-Orientales, se faire faire un nouveau tatouage (après son premier, réalisé trois ans plus tôt)… et ne repartir qu’un an plus tard. Un tattoo de douze mois ? Non : notre tatoueuse à Nîmes y était restée pour apprendre le métier.
Une tatoueuse du Gard passée par le Languedoc-Roussillon et la Normandie
Son premier poste de tatoueuse, Pauline le trouve en Normandie : elle y demeurera deux ans, avant de rejoindre la famille Graphicaderme et le studio de tatouage de Nîmes. Son protecteur : Jean-Pierre Vaïani qui, rompu aux techniques et enjeux de la modification corporelle, lui prodigue de précieux conseils.
Le choix pour votre tatouage à Nîmes : Pauline… ou SadWolf
Depuis, SadWolf, notre tatoueuse à Nîmes, a su faire montre de sa polyvalence et de sa grande capacité d’écoute. Son truc ? Travailler la couleur avec des gros traits épais et nombreux, mélanger le new et l’old school. Tenté(e) ? Prenez rendez-vous !